J’aurai pu utiliser des techniques marketing. Mais je préfère miser encore une fois sur l’honnêteté.
Toi et moi, on se ressemble :
T’as du coeur
T’es bienveillant
T’as pleins d’idées et de projets (peut-être trop d’ailleurs)
Et tu vis dans une forme d’anxiété constante
Voir même une forme de dépression
Il y a deux types de personnes. Ceux qui ont le courage de plonger dans leur chaos et d’aller chercher la vérité sur eux-mêmes… Et ceux qui préfèrent fuir, faire semblant que tout va bien, et s’anesthésier jusqu’à ce que la vie les brisent. La question, c’est : tu veux continuer à survivre en surface, ou tu veux commencer à vivre pour de vrai ?
On a choisi la même, et je sais que tu as déjà commencé à l’emprunté.
Ce n’est pas la plus simple, ce n’est pas la plus joyeuse, mais je suis persuadé que c’est celle qui mène à plus de liberté, de détachement et d’acceptation de soi.
Et donc finalement, à ce qu’on recherche tous, l’amour de soi.
Le problème c’est qu’il ne suffit pas de travailler sur soi pour se sentir mieux, en fait, il semble que ce soit même tout le contraire.
Ce qui compte c’est d’être soutenu, d’avoir des outils applicables au quotidien. Car c’est bien beau de comprendre ce que c’est XXX mais à quel moment je peux l’appliquer dans ma journée réelle, dans le monde réelle…
C’est comme si tu fais acte de présence… mais que tu te sens absent de ton corps.
Avec ce brouillard mental qui obstrue toutes tes perceptions. Et qui est là depuis tellement longtemps… Comme si ça faisait des mois, voire plus, que tu n’avais pas vécu une seule journée avec l’enthousiasme et la joie d’avant.
Tu te sens spectateur de ta propre vie.
Et quand cet état dure, forcément, ça se transforme. L’anxiété qui monte. L’impression de manquer d’air. Ce blocage au niveau du plexus solaire. Jusqu’au moment où tu t’effondres dans une crise de panique… ou en pleurs.
Et pourtant… tu fais tout bien. Tu bosses sur toi. Tu écoutes des podcasts. Tu lis des bouquins. Peut-être même que tu vois un psy.
Et malgré tout ça… t’as l’impression de tourner en rond. De répéter les mêmes schémas. Comme si t’étais condamné à ne jamais changer vraiment.
Je me suis rendu compte qu’un des principaux besoins, c’est de trouver une safe place bienveillante pour parler en toute vulnérabilité et se sentir soutenu et écouté sans jugement.
Et ça c’est ce que je propose depuis mai 2025 lors de cercle de paroles, en ligne et gratuit.
Et si je te disais que tu n’es plus obligé de traverser ça seul ?
Depuis mai 2025, j’organise des cercles de parole en ligne. Un dimanche sur deux. C’est gratuit, et accessible à tous.
Je créer ce dont j’avais le plus besoin aujourd’hui | J’ai créé ce dont on manque le plus aujourd’hui et ce dont j’aurais eu besoin ces derniers mois : un espace pour se sentir écouté et soutenu dans un cocon de bienveillance.
Une safe place en petit groupe pour partager tu n’oses dire nulle part ailleurs… sans peur du jugement.
Et c’est vraiment puissant. Je suis bluffé par la profondeur des partages, et par ce que chacun en retire.
Même si tu ne vas pas plus loin aujourd’hui, tu peux déjà rejoindre ces cercles gratuits. Et rien que ça, je suis certains que ça pourra t’aider.
Début 2025, j’ai touché le fond.
Mais la vérité c’est que ça n’est pas arrivé du jour au lendemain.
Ça faisait des années que je traînais ce mal-être en arrière-plan.
Une sorte de dépression silencieuse, toujours là, jamais vraiment nommée.
J’étais fonctionnel. Je bossais. J’avais des projets. De l’entourage. Mais à l’intérieur, c’était creux.
Comme si ma vie avançait… sans moi.
Tout ça c’était le résultat de beaucoup de remises en question, d’une quête de sens et d’une voie professionnel qui avait réellement du sens pour moi.
J’ai cherché à en sortir par le développement personnel. Pour mieux me comprendre et donc trouver réellement ma voie. Celle qui donnerait sens à ma vie et qui stopperai tout ce chaos.
J’ai plongé dans les livres, dans le travail. Dans les voyages. Dans les projets. Dans les relations.
Mais rien ne durait. Chaque fois, le brouillard revenait.
J’étais entouré, j’avais des amis incroyables, des projets, une vie qui avait l’air “bien”…
mais à l’intérieur, c’était le vide total.
Plus aucune énergie. Plus d’envie. Plus de sens.
J’étais à bout de souffle, incapable d’avancer. Et au fil du temps, cette fatigue s’est accumulée.
Et pour la première fois de ma vie, je me suis surpris à prier… juste pour réussir à tenir jusqu’au lendemain.
C’est ce que j’appelle aujourd’hui mon “burnout existentiel”.
Dans cet état, j’ai pris une décision que je n’avais jamais osé avant :
j’ai partagé une vidéo.
Une vidéo brute, vulnérable, sans filtre. J’y racontais exactement ce que je vivais.
Franchement, je pensais que ça allait toucher cinq personnes, pas plus.
Mais en quelques jours, elle a dépassé les 3 millions de vues.
Et surtout… elle a rassemblé plus de 600 personnes qui m’ont écrit :
“Moi aussi je vis ça. Moi aussi je veux un espace où je peux en parler.”
Et c’est comme ça qu’est né Le Cocon.
Pas d’un business plan.
Pas d’une stratégie marketing.
Mais d’un moment de chaos, de vulnérabilité, et d’un besoin universel : ne plus être seul dans son brouillard.
Moi, ce brouillard-là… je le connais par cœur.
Depuis tout petit, j’ai grandi avec cette hypersensibilité, cette timidité extrême, cette peur constante du regard des autres.
Extérieurement tout allait bien : Une enfance plutôt simple, sans gros drame, sans divorce, sans violence.
Et pourtant… dès gamin, je me sentais différent.
(Et honnêtement c’est qu’en 2025, soit après 28 ans de vie que j’ai compris et intégré que j’étais hypersensible, que j’ai perçu mes valeurs, compris mes forces et ma mission.)
Timide à l’extrême.
Hypersensible.
Comme si le monde était trop dur, trop bruyant, trop hostile pour moi.
A l’époque je me suis réfugié derrière l’écran. L’ordi, la console, YouTube. Je pouvais passer mes journées dessus.
Ce que je ne savais pas, c’est qu’en même temps, j’étais en train de développer toutes les compétences qui allait me servir plus tard. Mais pour le moment… c’était juste un exutoire.
Puis il y a eu l’adolescence, les premières histoires de cœur, la dépendance affective… Et toujours cette question en fond : “Pourquoi je ne me sens jamais vraiment heureux ? C’est quoi le sens de ma vie ? Mon grand but, MA MISSION”
Ensuite, les études, le boulot, l’entrepreneuriat. J’ai monté mon agence, travaillé avec des gens connus, voyagé, tenté mille choses. De l’extérieur, j’avais l’air de m’en sortir.
Mais la vérité… c’est qu’intérieurement, j’étais de plus en plus vide.
Cette dépression latente m’a suivi pendant des années. Je fonctionnais. J’avançais. Mais comme absent de ma propre vie. Comme un personnage principal qui abandonne le rôle.
Jusqu’à ce que tout lâche. À nouveau
Début 2025, j’ai sombré dans un chaos mental. Plus d’énergie, plus d’envie, plus de sens. C’était ce que j’appelle un burnout existentiel.
Et dans cet état, j’ai fait un truc que je n’avais jamais osé avant : j’ai partagé une vidéo. Une vidéo vulnérable, sans filtre, où je racontais exactement ce que je vivais.
Je pensais toucher cinq personnes, pas plus. Mais elle a explosé : plus de 3 millions de vues. Et surtout, des centaines de messages :
“Moi aussi je vis ça. Moi aussi j’ai besoin d’un espace pour en parler.”
C’est ce jour-là que j’ai compris. Ce n’était pas moi le problème. Ce qui manquait, c’était un cadre, un sanctuaire, un cocon.
Et c’est comme ça qu’est né Le Cocon.
Et c’est là que j’ai compris.
Le problème, ce n’était pas que je manquais d’outils.
J’en avais déjà testé des dizaines. Livres, podcasts, thérapies, retraites, méditations…
Ça aidait parfois sur le moment, mais rien ne tenait dans la durée.
Le vrai manque, c’était le cadre.
Un espace sûr.
Un sanctuaire.
Un endroit où tu n’as pas besoin de porter de masque, où tu peux déposer ce que tu vis, et où tu es soutenu au lieu d’être jugé.
Mais surtout… un endroit où tu n’es pas seul face à tes démons.
Où quelqu’un est là pour t’orienter quand tu ne sais plus par où commencer.
Où on te relève quand tu tombes.
Où on te pousse quand tu veux faire demi-tour.
Où on t’aide à déjouer les pièges de l’autosabotage.
Et où on t’apaise quand l’anxiété prend toute la place.
Parce que seul, tu finis toujours par retomber dans tes travers.
Mais quand tu es guidé, entouré, et soutenu par une communauté bienveillante… alors tu peux vraiment avancer.
C’est exactement pour ça que j’ai créé Le Cocon.
Pas comme un programme de plus, pas comme une formation à la mode.
Mais comme ce que j’aurais rêvé de trouver quand j’étais au plus bas : un espace collectif de réparation, de clarté et de reconnexion à soi.
J’ai plongé dans les fourbe de l’autodestruction et de l’introspection profonde, et du new age. Plus je creusait en moi plus j’avais de questions. Je creusait en moi, j’observait, je me voyais tel que j’étais (même si y’avait surement des biais) mais au moins j’avais le mérite d’avancer sur ce cheminement de découverte de soi et d’introspection pour apprendre à se connaître. Sauf que le but c’est de guérir, pas de penser à guérir. Le but c’est de vivre la spiritualité avec le monde autour de soi, pas d’être déconnecté. L’introspection est pratique mais elle n’est pas une fin en soi.
Je suis le guide ayant exploré l’ombre pour te partager la lumière.
métaphore: La cascade est jolie, personnellement je vais m’y baigner. Si ça vous intéresse, venez avec moi, je vous montre le chemin.
Je m’entoure et je mutualise l’accès à des coachs et experts.